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La plus grande société multinationale américaine de gestion de fonds, BlackRock, envisagerait d’intégrer des
bitcoin
s à son portefeuille actuel. Cette porte ouverte au Bitcoin par le plus gros gestionnaire n’est-elle pas annonciatrice de la démocratisation des crypto monnaies ? Le Bitcoin deviendrait ainsi la 1ère crypto monnaie à être autorisée d’utilisation.
Le géant BlackRock cède aux muses de la cryptomonnaie -iStock-Michael Vi
Une future entrée dans le crypto-game
A l’heure actuelle, BlackRock n’a pas précisé quel genre de marchandises elle choisira pour effectuer des achats de contrats avec ce type de monnaie. Cependant, les fonds ne peuvent investir que dans des contrats à termes de Bitcoin réglés en espèces. Au mois de novembre dernier, le directeur des investissements de BlackRock a déclaré que cette monnaie pourrait être là pour rester sur du long terme et pourrait même remplacer l’or « dans une large mesure ». Faisait-il allusion à une institutionnalisation du Bitcoin ? Ses propos et son changement de jugement semblent le suggérer. En effet, jusqu’alors, son PDG Larry Fink regardait le Bitcoin avec méfiance et le considérait comme un outil de blanchiment d’argent.
Des dangers à prendre en compte
Cet engouement nouveau pour le Bitcoin se propage et fait des émules. BlackRock n’est pas le seul à vouloir diversifier son portefeuille avec cette nouvelle monnaie. Ainsi, le maire de Miami a annoncé qu’il souhaitait placer une partie des économies de la ville dans la cryptomonnaie. Pourtant des réticences existent et ne peuvent être ignorées. Janet Yellen, la secrétaire au Trésor américain, s’inquiète de l’utilisation des cryptomonnaies pour le financement d’activités criminelles. Selon elle, ces monnaies seraient utilisées, au moins en ce qui concerne les transactions, pour des financements illicites. Elle suggère de réduire l’usage de celles-ci et de s’assurer qu’elles ne servent pas à blanchir de l’argent sale.
Malgré tout une monnaie d’avenir ?
En France, Christine Lagarde se pose la même question et affirme que le Bitcoin couvre des activités totalement répréhensibles de blanchiment d’argent. Elle pense cependant que, bien encadré, le Bitcoin est une solution d’avenir dans les échanges et qu’il finira par remplacer les monnaies nationales en se passant des banques centrales. Pourtant, les premières conclusions publiées d’un rapport de Chainalysis montrent que les activités criminelles liées aux cryptomonnaies ne représentent qu’une part infime des échanges, soit 0,34% en 2020. Ce chiffre nous montre donc que ceci reste une bien faible part de toute l’économie de cet écosystème. La plupart des activités répréhensibles relève de l’arnaque ou des échanges sur le darknet. Le financement du terrorisme s’avère être marginal. Bien que le Bitcoin soit sous le feu des projecteurs, les cryptomonnaies ne font pas l’unanimité et pour cause, le système est fragile et opaque. Si on devait parler d’une évolution vers un marché plus global, cette monnaie qui n’est pas régulée par un cours légal mériterait d’être encadrée par les autorités.
Le présent article est rédigé par Labsense pour Boursorama. Cet article ne doit en aucun cas s'apparenter à un conseil en investissement ou une recommandation d'acheter, de vendre ou de continuer à détenir un investissement ou un placement. Boursorama ne saurait être tenu responsable d'une décision d'investissement ou de désinvestissement sur la base de cet article.
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